1kg de pommes de terre Ditta
1kg de poireaux
0.4kg de carottes
1 céleri rave
0.5kg d’oignons rouges
1 côte de bette
2 salades
1kg de pommes de terre Ditta
1kg de poireaux
0.4kg de carottes
1 céleri rave
0.5kg d’oignons rouges
1 côte de bette
2 salades
Après une semaine passée dans les épinards, nous attaquons les bettes. Enfin, nous passons le relais aux garçons…
Pour nous, les filles, des projets bien plus importants nous attendent. C’est surtout qu’après une semaine à nous muscler le dos et les cuisses (voir les pieds vu l’apparition de courbatures…). Le repiquage est un petit travail minutieux qui nécessite de petits doigts agiles et non de grosses paluches. C’est de la discrimination, mais c’est comme ça. Les garçons sont les docteurs (ils arrachent, plantent et coupent) et nous, les infirmières (nous semons, repiquons et donnons notre amour…)
Mais du repiquage, il y en a plein, plein, plein : céleri rave (et oui, vous n’avez pas fini de manger ceux de l’année dernière que nous recommençons leur cycle ! ah… si seulement les tomates étaient ainsi !), basilic, courgette, tomate, chou rave, bette.
Et entre temps, il y a les petits pois à semer, les salades à planter, les serres à nettoyer (ben oui, la mâche n’a pas aimé le soleil et a décidé de nous faire des fleurs, alors maintenant, on prend les muscles de ces messieurs pour tout enlever)et encore du fenouil à planter (ce n’est pas parce qu’il n’y en a pas eu à l’automne qu’il n’y en aura pas plus tard… enfin, ce n’est pas une garantie parce qu’on ne sait jamais !) et puis quelque part entre tout ça, il va falloir aussi semer les choux pour l’automne.
Donc si les épinards ne se glisseront pas dans nos rêves, nos bébés légumes risquent de les envahir, parce que cela ne se fait pas d’oublier un enfant !
Bonne semaine.
Aux côtés d‘Olivier Gueguen, un éleveur breton qui a perdu 25000 poulets suite à une coupure d’électricité, nous explorons un milieu professionnel hyper-technique et épuisant, où la logique industrielle, sanitaire et financière a imposé son culte de la performance et où les anciennes formes de solidarité paysanne ont disparu. Comme les abattoirs de Doux et autres industriels de la volaille, les éleveurs subissent les caprices du marché international et des politiques publiques.
Comment certains agriculteurs en retraite s’organisent-ils aujourd’hui pour venir en aide aux actifs en difficulté, sur les plans administratif, juridique et psychologique, et enfin quelle place est offerte aux propositions alternatives pour l’élevage de la volaille ?
Rendez-vous pour l’AG, la livraison de champignons,de viande de bœuf et de légumes !
1kg de de pommes de terre Ditta
0.5kg de poireaux
1kg de carottes
0.5kg de navets
0.5kg de betteraves
0.5kg d’épinards
0.5kg de panais
0.2kg de mâche
Nous sommes mi-Mars, le tracteur est sorti, le semoir aussi. Les graines reposent sur le coin de la table. Les sacs de terreau sont éventrés près de la « motteuse ». L’arrosage est installé sur les petits pois. Les sarclettes s’affutent pour planter les oignons. Mon père est sur la brèche, normal, l’heure de planter ses patates approchent à grands pas et il a bien envie de la devancer. Courgettes, concombres, basilics, céleris raves, tomates se poussent les uns les autres dans leurs barquettes. Et les épinards sont beaux.
Donc cette semaine, on commence par planter les oignons pour libérer les caisses pour faire pleins, pleins et encore pleins de cubes pour repiquer. Et comme les épinards ont été plus vite que les bettes, on attaque la saison bette/épinard par ces derniers pour ne faire qu’alterner jusqu’à l’écœurement. En même temps, cela fait au moins 3 ans qu’il n’y en a pas eu à foison et cette année a l’air bien partie…
Et naturellement, il y aura aussi des carottes de semer dehors, avec des épinards (bien que cela ait une fâcheuse tendance à jaunir plus vite qu’à être cueilli !)
Ma foi, ce petit temps ensoleillé nous permet de bien faire profiter nos légumes de printemps et ses petites nuits fraîches préservent quelques reliquats d’hiver. Les radis ne sont peut-être pas encore de la fête, mais ils ne seraient tarder…
Bonne semaine.
Documentaire de 52 minutes diffusé le 14 mars 2014
L’agriculture mondiale dépend essentiellement aujourd’hui de cinq multinationales de l’agrochimie, qui s’enrichissent en obligeant les paysans à utiliser les semences qu’elles ont sélectionnées. Ce documentaire raconte le combat de petits exploitants, chercheurs et citoyens européens qui se mobilisent contre ce monopole et luttent pour préserver la biodiversité.
http://www.produitsdurables.fr/
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http://greenpeace.fr/guetteur/marques/
1kg de pommes de terre Eden
0.5kg de poireaux
0.8kg de carottes
1kg d’oignons
0.3kg de mâche
0.2kg de pissenlits non épluchés
1 botte de persil
Enfin du soleil qui enthousiasme nos légumes et notre bonne humeur !
Chaque rayon donne une feuille de plus à nos légumes et à nous, l’envie de les cueillir…
Et enfin la première tulipe. Cela n’a aucune incidence sur les paniers mais j’adore cette période. Même si je sais que pour les cueillir, c’est la course contre le soleil pour qu’elles restent fermées. Pourtant, rien qu’à l’idée de me sortir au moment où la nuit rencontre l’aube, cela me remplit de joie. Cet instant précis où les oiseaux se taisent pour admirer la nature avant de la fêter. Cet instant où la brume s’accroche aux branches et dépose la rosée sur l’herbe… C’est un peu de la magie. Bon, certes, quand les tulipes sont plus nombreuses que mes bras, qu’il est dimanche et 10h, je n’y trouve pas de beauté et je me dis que vraiment, c’est la dernière année que j’en fais. Mais c’est tellement beau et tellement plus agréable qu’un poireau…
N’empêche, que vous, ce qui vous intéresse, ce sont nos légumes. Donc tout est là. Nous les touchons, les surveillons et encore une semaine ou deux, selon leur humeur.
Mais pour la première fois depuis 3 ans, c’est là.
Pas en avance, juste à l’heure. Les feuilles poussent, les pieds s’épaississent, certains se pomment, d’autres grandissent. C’est juste bien et pour un peu, je sautillerais de joie rien qu’en les voyant. Je ne sais plus si je fais le tour du champ pour les surveiller ou juste pour faire battre mon cœur.
Bref, avec tout ça qui arrive, on oublie presque qu’il faut préparer l’été. Pourtant c’est semer : la 2ème saison de tomate, courgette, concombre, poivron, aubergine, céleri rave… sans oublier qu’on attaque dehors cette semaine.
Donc si on n’est pas encore en retard, cela en est un synonyme…
Bonne semaine.