1kg de pommes de terre nouvelles
1 botte d’oignons
500 g de haricots verts
4 courgettes
1 salade
2 concombres
1 part de chou blanc
1 poivron
1 aubergine
des tomates ?
1 kg de pommes de terre nouvelles
2 concombres
1 bouquet d’herbes aromatiques
1 botte d’oignons
1.5kg de courgettes
330g de haricots verts à cueillir par les Amapiens
1 aubergine
1 poivron vert
0.5kg de tétragones
Alors, je pars 2 jours dans un endroit où il ne tombe pas une seule goutte d’eau (la Nièvre) alors qu’ici, il pleut à torrent et du coup, l’herbe multiplie sa courbe de croissance par 10…
En bref, nous étions à l’heure, maintenant, nous sommes en retard pour le désherbage… les pissenlits, les carottes, les choux fleurs et les brocoli (rappelez vous, ils ont été plantés après tous les autres, pour essayer d’en avoir des beaux contrairement à d’habitude mais j’ai bien peur que l’expérience tourne court !) et aussi poivrons et aubergines dans les serres.
Sans compter que mon père ne sachant pas à quoi occuper ses week-ends est parti chatouiller le poireau (pour être poli mais vous comprenez l’idée générale) et en à profiter pour nous en rapporter 100 000 à planter (aujourd’hui et demain parce que l’on a forcément que ça à faire) en nous disant : « quand on les plantait à la main, on en faisait 10ha à l’heure » et nous rajoutons, en pensée par nous respectons beaucoup nos anciens : « on sait, on sait, pieds nus dans la neige »
Autrement, il y a plein de petites coccinelles dans les concombres. Je n’en ai jamais autant vu dans une serre de ma vie, ceci dit, je n’ai jamais autant vu de pucerons sur les concombres et les courgettes que cette année…
Au désespoir de certains, vous remarquerez qu’il n’y a pas de tomates cette semaine dans les paniers pour la bonne raison que j’en ai eu beaucoup le vendredi 9/07 et le mardi 13/07, donc j’ai tout mis dans les paniers de la semaine dernière. Les nuits étant plus fraîches, les tomates mûrissent moins. Autre facteur, j’ai privilégié cette année la variété Montfavet, qui est une vieille variété hâtive mais comme toutes vieille variétés devient molle et ne se garde pas longtemps, donc je n’ai pas de stock (en principe on a 1 semaine d’avance de cueille). Ensuite, comme beaucoup des paniers freine ou s’arrête en août au niveau des paniers, le 2è saison qui commence à donner et devrait prendre le relais de la 1è est beaucoup moins volumineuse (2400 pieds plantés au début contre 1000 en 2è et 2900 pour la dernière)
Voilà le pourquoi du comment.
Mais pour vous consoler, il y a des courgettes… Courage, encore 10 ans et vous aurez des paniers top…
Enfin,nous avons étrenné le nouveau carré de haricots qui est superbe, avec pleins de petits haricots tout mignons, tout bons qui n’attendent que des petites mimines pour venir les cueillir.
J’insiste sur le fait qu’il faudrait des personnes le samedi et le mercredi si vous ne voulez pas des pieux dans vos assiettes…
Bonne semaine.
Pour 4 personnes Cuisson: 30 min Four th 7
Il faut:
Couper les courgettes en fines lamelles en gardant la peau. Les faire revenir dans l’huile en les retournant pendant 10 min. Mélanger les œufs, la crème, les fromages, le basilic, le sel et le poivre. Ajouter les courgettes. Verser dans un moule huilé et cuire au four. On peut le manger chaud, tiède ou froid avec un coulis de tomates.
1kg pdt Nelle
1 salade
1 herbe
1 oignon botte
1.9kg tomates
500g tétragone ou 400g haricots verts (si votre amap est venue cueillir)
1 fenouil ou betterave botte (tout dépend si le fenouil est monté ou pas)
3 courgettes
Chaleur, chaleur et encore chaleur ! Même les garçons (vittor and co…) déclarent forfait. Paraîtrait-il que ce serait un temps à se mettre à l’ombre, un verre de limonade bien fraîche à la main…
En attendant, il faut bien que cela avance. Et comme j’ai eu la bonne idée de prendre 2 jours cette semaine encore (3 si l’on compte le 14 juillet), il faudra que cela se fasse sans moi. Et cela va être bon (pour moi, pas pour eux !)
Une grosse partie des choux sont propres et beaux… je crois que l’on va réussir le chou cette année. Cherchez les recettes parce que j’entends déjà les plaintes. Les céleris raves aussi sont beaux et pour le moment, même plus beau que l’année dernière.
Pour les potirons, je ne me suis pas approchée du carré. Ils ont l’air noyé dans l’herbe mais sur la quantité planté, il va bien y en avoir pour les paniers… Cherchez les recettes aussi… Ce va être un hiver de folie !
Pour le moment, les petites pommes de terre nouvelles sont choupinettes. Les aubergines nous donnent des larmes aux yeux tellement on est fière d’elles (déjà, elles ont 1 semaine d’avance et en plus il y en a à chaque pied, je pense que vous allez en avoir cette année) Les tomates poussent et rougissent. Pensez bien à eux lundi matin parce qu’ils vont les tailler, on est un peu en retard là dessus. Parfois, en les cueillant, on se croit transporté en pleine jungle, attaqué de toute part par les branches de tomates.
En ce qui concerne les haricots, cueillette mercredi à 10h uniquement, parce que comme il n’y a qu’un rang pour vous et que les haricots ont souffert du froid, de la sécheresse (bref de tout ce qu’il ne faut pas), ils ne sont pas nombreux sur les pieds (et cela m’évite de faire comme la semaine dernière, appeler tout le monde en catastrophe pour annuler l’après midi…)
Bonne semaine.
Mon père ne veut plus revenir. Voilà, on lui accorde 6 malheureux petits jours, il nous casse les pieds avant de partir parce qu’il fait semblant de ne pas voir nos costumes de super héros, n’appelle pas de la semaine alors que d’après ses pronostics, nous n’y arriverions pas sans lui et maintenant, il fait son enfant gâté et retarde son retour (en nous demandant tout de même la permission, mais quand même !)
Bref, il rentre mardi soir sauf s’il change encore d’avis…
En attendant, cette semaine nous a paru… reposante. En particulier quand, mercredi à 12h20 (alors que si je pars après 12h23 pour l’amap de Châtenay, je suis sûre d’être en retard), Victor arrive en me disant : « il y a une catastrophe » Ca y est, le scénario catastrophe de mon père était en train de se réaliser : la 4ème pompe était en panne… Eh bien non ! il n’y avait plus d’eau dans la réserve. A force d’ouvrir et de fermer un mauvais mécanisme vieux de 40 ans en attendant le réparateur (qui ne s’est pointé que jeudi dernier) et d’arroser pour cause de grosse chaleur, l’eau continuait à repartir tranquillou dans la rivière. J’espérais que mon père n’aurait pas la bonne idée d’enfin nous appeler pour connaître le niveau de l’eau, mais comme toujours dans ces cas là, nous ne sommes pas exaucés, mais il n’a même pas demandé de nouvelles de la réserve, il voulait juste du rab’ de vacances. Ah, j’vous jure, ces anciens, ce n’est plus ce que c’était ! Le problème s’est résolu en arrêtant d’arroser 1 ½ journée, le temps de faire un peu de réserve.
Donc, d’un côté, on prit pour avoir de l’eau avec les orages, d’un autre, pas trop puisque les pompes sont juste sorties et pas encore réparées, donc on ne voudrait pas à avoir à baisser encore une fois le niveau d’eau…
Passons ces problèmes d’eau. Cette semaine, c’est du sérieux. On bîne les choux et il y a de quoi faire. Mais pourquoi même sans eau l’herbe arrive à pousser ?!
Autrement, on attaque les haricots verts en cueillette, les tomates rougissent bien qu’elles soient peut être un peu petites. Les aubergines poussent, les poivrons aussi. Les fenouils souffrent un peu du manque d’eau. Les potirons sont dans l’herbe (panique et trèfle) et vous, vous partez en vacances… sniff !
Bonne semaine.