Calendrier prévisionnel
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Lettre du représentant de Sqypousse
Bonjour,
Nous avons le projet de réaliser une action citoyenne très mobilisatrice autour de la ferme de Buloyer, le 23 novembre.
En effet, vous n’ignorez pas que cette ferme est toujours en friche depuis Décembre 2016. SQY’POUSSE a sans relâche tenté d’interpeller la Communauté d’Agglomérations de Saint-Quentin afin d’obtenir d’une part des renseignements sur l’avancée du dossier et des appels d’offres, et d’autre part de porter à sa connaissance des porteurs de projets candidats, dont deux maraîchers, formés et prêts à s’installer.
Malgré un pique-nique citoyen organisé en avril 2018 avec invitation de la presse, malgré plusieurs courriers adressés au Président de la Communauté d’Agglomération, nous n’avons jamais pu rencontrer les décideurs ni pu visiter la ferme avec les candidats à l’installation. Nous n’avons jamais été informés de la suite des événements tel qu’on nous l’avait laissé entendre à la suite du pique-nique. Concernant la publication d’un appel d’offre, il nous avait également été promis une échéance en Juillet 2018 qui, en ce mois de novembre 2019, n’a pas été respectée, aucune n’ayant eu lieu à ce jour. En outre, la SAFER, qui au départ avait été contractualisée pour trouver des candidats, a été dessaisie du dossier. Pourquoi un tel retard ? Un projet agricole n’est-il désormais plus d’actualité ? Existe-t-il un projet immobilier ? Les rumeurs vont bon train. Depuis l’été 2018, nous déplorons une opacité totale côté Agglo, malgré des demandes de RDV réitérées auprès des responsables.
Force est de constater qu’on s’oriente vers 4 campagnes agricoles à blanc (une récolte 2020 est très compromise à ce jour où aucune culture n’est installée) alors que cette ferme aurait pu faire vivre deux foyers de maraîchers. Son équipement compte 4 serres-chapelles en déshérence, des bâtiments inoccupés, des terres en friche… Comment la Communauté d’Agglomération, qui a pourtant signé le plan alimentation territorial (PAT) préconisant une alimentation de proximité, peut-elle tolérer de laisser sur son territoire une ferme vacante aux yeux de tous aux frais des habitants contribuables, alors qu’elle en est pleinement propriétaire et donc redevable de sa bonne gestion, tout en faisant la sourde oreille à une proposition locale portée par SQY POUSSE, représentant 32 associations issues des communes de Saint-Quentin dont vous faites partie ?
Nous aurons aussi le plaisir d’avoir des invités « surprise » en soutien à notre combat.
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bon, bah oui… il y a encore du fenouil! Courage, il en reste encore plein…
Mais vous avez de la pomme de terre ferme… il faut se satisfaire de petites victoires.
Et si vous vous demandez pourquoi les carottes sont si grosses (et ce sera ainsi jusqu’en Avril…) et bien, malgré notre mémoire de poisson rouge, il a fait trop chaud en juin et elles ont très, très mal levé. Donc là où il y avait 2 graines, il n’y a plus qu’une carotte et elle s’arrête de grossir quand elle touche ses voisines… et cette année, les voisines étaient loin… très loin…
Et sinon, vous arrivez à manger les courges ou vous stocker/congeler…?
1 kilo de pommes de terre fermes
0.5 kilo de fenouil
1 kilo de carottes
1/2 céleri rave
1 kilo de poireaux
1 salade
1 part de courge
1 kilo d’oignons
Une semaine de soucis. Pourtant c’est la période de l’année où nous savourons la baisse de travail. Et bien non ! Notre ligne téléphonique a ouvert le bal. Bouygues a décidé de faire une OPA sur notre compte… ?! Constatant qu’il n’y avait plus moyen de se connecter, nous appelons notre opérateur qui nous indique que Bouygues était en train de mettre la main sur nos forfaits.
Ah ! Ah ! La bonne blague… donc quand on vous dit qu’il faut impérativement envoyer une lettre de résiliation, il semblerait que non… Donc 10 jours que le manège dure. Orange nous a donc souvent au téléphone et notre mauvais esprit les soupçonne d’aller prendre un café quand il nous mette en attente pour faire genre nous-bossons-très-dur-pour-résoudre-votre-problème…
C’était la première contrariété.
La deuxième est plus pénible. Super Carlos a senti une brûlure à la jambe mercredi soir. Un poids sur la poitrine jeudi matin. Donc direction urgence. Ils l’ont gardé. Il s’ennuie ferme. Une malformation cardiaque de naissance a été détectée. Les analyses sont normales. Il attend pour un test d’effort. Et la brûlure pourrait être un caillot qui aurait pu être une embolie pulmonaire. Bref Super Carlos perd de sa superbe et prend son mal en patience…
Au final, cela a suffi pour pourrir notre belle humeur et il ne reste plus que l’atelier de découpe de citrouilles pour nous redonner le sourire…
Merveilleuse semaine !
1 côte de bette
500 g d’épinards ou 1 chou Romanesco
1 bouquet de persil
1 part de courge
500 g de fenouil
1/2 chou
400 g d’échalotes
700 g de navets
1 salade
L’heure a avancé. La nuit gagne un peu plus chaque jour et nous savons qu’il est temps de ranger les tuyaux d’arrosage. Il est temps de laisser couler 2019. Encore deux mois, et pourtant, nous la savons finie pour nous. Déjà, nous nous tournons vers 2020. Pour l’instant, aucune espérance, juste une mise en place. Savoir où seront les pdt nouvelles, le reste de la mâche et de la salade. Penser au semis de carottes. Et revenir à cette année : vidanger les enrouleurs, broyer l’herbe, prévoir l’enchaînement des rentrées. Céleris raves et radis noirs avant le 11 novembre. Mais les choux blancs ? Avant ou après ? Sans oublier le chou rouge qui ne commence qu’à pommer (ce saloupiaux !), non parce que, quand même, il y en a 800 dans le champ et maintenant qu’ils ont été binés et arrosés tout l’été, il serait de bon ton qu’ils nous donnent un petit quelque chose…
En attendant qu’ils se décident à être mignons ou pas, nous cherchons nos pas dans les brouillards matinaux, nous réfugiant auprès des épinards. Petits et pas trop mignons pour une partie, ils occupent nos après-midis. Petites pousses à déguster en salade, c’est une à une que nous les rangeons tout en pensant à ce qui nous prendra beaucoup, mais alors vraiment beaucoup moins de temps…
Merveilleuse semaine !
Une nouvelle saison commence vraiment avec profusion de courges (que vos soupes vont être bonnes…), de fenouil (nous faisons travailler votre imagination parce que j’ai l’impression que nous n’avons pas autant réduit que ce que nous l’envisagions…), de carottes (enfin, il faut dire qu’une carotte, un kilo, les quantités seront là…) et nous sommes mignons, un peu d’épinard (ou du chou fleur, nous hésitons entre ce qui presse le plus…)
Bref, une merveille d’automne. Et surtout, pensez à congeler (ou faire ce que vous voulez) les courges parce que vous n’en aurez que jusqu’à Noël. Après, elles pourrissent d’un seul coup chez nous, donc il vaut mieux commencer à chercher un moyen d’en avoir pour plus tard si vous êtes au bord de l’overdose…
Il n’est plus question d’été. Il est temps de sortir les recettes de soupe ou de plats mijotés. D’ailleurs, une recette de fenouil, testée hier, sur Facebook pour ceux qui dépriment à l’idée d’en avoir beaucoup… et elle fonctionne aussi avec les courges!
On ne vous met le céleri rave que par moitié, histoire de vous laisser de l’appétit pour la fin de l’hiver. Et petite pause de pommes de terre (mais que pour cette semaine), histoire de liquider vos stocks et de pouvoir présenter des pâtes à table…
Dans tous les cas, nous entrons dans la trilogie: pommes de terre/carotte/poireau… et nous sommes fort triste de ne pas avoir des courgettes toutes l’année bien qu’elles aient été plus loin dans les paniers cette année (semaine 40 contre semaine 35 en 2018).
1/2 céleri rave
0.5 kilo de navets
1 kilo de poireaux
1 part de courge
0.5 kilo de fenouils
0.8 kilo de carottes
0.4 kilo d’échalotes
1 salade